Francesco Ragusa, photographie numérique    (d’après la maquette du même nom « La cité radieuse de Fribourg », 2019, de Gédéon Abebe & Apolinário Soares,    aaag architectes   , exposée au    MAHF    en 2019 dans le cadre de l’exposit
       
     
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  Grégoire Sickinger, Vue cavalière de Fribourg, 1582  © MAHF 4067.
       
     
  Francesco Ragusa, photographie numérique    (d’après la maquette du même nom « La cité radieuse de Fribourg », 2019, de Gédéon Abebe & Apolinário Soares,    aaag architectes   , exposée au    MAHF    en 2019 dans le cadre de l’exposit
       
     

Francesco Ragusa, photographie numérique

(d’après la maquette du même nom « La cité radieuse de Fribourg », 2019, de Gédéon Abebe & Apolinário Soares, aaag architectes, exposée au MAHF en 2019 dans le cadre de l’exposition Mémoires Vives)

interprétation de l’œuvre de Grégoire Sickinger, Vue cavalière de Fribourg, 1582

Si l’on juge le plan comme une photo, c’est-à-dire comme une représentation graphique à un moment précis de l’histoire, nous apprenons que Fribourg était contenu à l’intérieur de ses remparts. On imagine, à ce moment, que la ville est en pleine évolution urbaine. Elle se transforme et se façonne selon les besoins de sa population et de ses propriétaires. En 1582, le bourg est alors une ville, avec la cohérence architecturale, urbaine et constructive que cela suppose.

Que retenons-nous ? Topographie, remparts, pont et cathédrale suffisent à comprendre la complexité de la cité fribourgeoise.

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  Grégoire Sickinger, Vue cavalière de Fribourg, 1582  © MAHF 4067.
       
     

Grégoire Sickinger, Vue cavalière de Fribourg, 1582 © MAHF 4067.